Un titre un peu accrocheur, voire racoleur. Mais en fait, c'est l'introduction de mon propos qui est de dire que le job de DAF devient réellement intéressant quand la situation économique devient difficile. Gérer une entreprise quand tous les feux verts sont allumés est plaisant, sans aucun doute, mais cela peut conduire à laisser ses concurrents prendre des parts de marché, et se retrouver dépasser rapidement. Par ailleurs, il me semble qu'on est moins innovant.
C'est bien notre rôle à nous, les DAF d'être vigilant pour éviter les catastrophes et être dans une situation de crise qui peut être fatale. Pour cela il faut maintenir le niveau de compétences de ses collaborateurs, faire preuve d'innovation, réaliser des benchmarkings et trouver les indicateurs les plus adéquats pour maintenir l'efficience de la structure, quelle qu'elle soit.
En tout cas, c'est pendant ces moments difficiles qu'on peut rassembler ses collaborateurs autour de projets communs qui permettent de fédérer les initiatives et ainsi de rester performant.
Oui, je pense que c'est dans ces moments là qu'on est le plus utile à nos dirigeants.
En effet l'homme et les organisations humaines se surpassent en cas de crise ou de guerre, c'est le cas le plus commun. Cependant il existe un autre cas de figure qui demande un management de haut vol. Tendre vers l'excellence! Il n'est pas forcement nécessaire d'être en lutte ou en guerre pour se surpasser, la volonté de s'épanouir dans un projet commun est un autre chemin.
RépondreSupprimerTon Yaya
"On ne fait rien d'extraordinaire sans hommes extraordinaires et les hommes ne sont extraordinaires que s'ils sont déterminés à l'être".
(Charles de Gaulle)
D'ailleurs, je te propose de lire mes posts précédents sur les réalisations que mon équipe et moi-même avons opérées depuis mon arrivée en juillet 2010 au sein de l'INP. Je peux t'assurer qu'elle se surpasse tous les jours dans un contexte difficile.
SupprimerMerci Yaya pour ton commentaire que je partage entièrement. A bientôt
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